Sepmeries
Sepmeries | |||||
La mairie de Sepmeries. | |||||
Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Avesnes-sur-Helpe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Mormal | ||||
Maire Mandat | Thierry Soszynski 2020-2026 | ||||
Code postal | 59269 | ||||
Code commune | 59565 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale | 649 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 108 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 17′ 01″ nord, 3° 33′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 53 m Max. 106 m | ||||
Superficie | 5,99 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Artres (ville-centre) | ||||
Aire d'attraction | Valenciennes (partie française) (commune de la couronne) | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Avesnes-sur-Helpe | ||||
Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | site officiel [1] | ||||
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Sepmeries est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Géographie
Sepmeries se trouve administrativement dans l'Avesnois et historiquement dans le Hainaut. Le village est situé entre Le Quesnoy (à 7 km) et Valenciennes (à 12 km).
Hydrographie
La commune est traversée par le ruisseau l'Hirondelle.
Communes limitrophes
Artres | Maresches | |
Vendegies-sur-Écaillon | Villers-Pol | |
Bermerain | Ruesnes |
Climat
Pour des articles plus généraux, voir Climat des Hauts-de-France et Climat du Nord.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 767 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Valenciennes à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 694,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
Typologie
Sepmeries est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Artres, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[10] et 2 540 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[11],[12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,7 %), prairies (19,8 %), zones urbanisées (7,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Étymologie
- XIIe siècle : « Semeriis », « Sepmeries » ;
- XIVe siècle : « Semeries » ;
- XVIIe siècle : « Semmeries », « Semmerie » ;
- XVIIIe siècle : « Sepmeries », « Semeries », « Semerie ».
Histoire
Antiquité
Les premiers peuplements de Sepmeries sont inconnus mais deux hypothèses sont possibles : les Romains ou les Vikings :
À l’époque romaine (fin du IIIe siècle), une voie romaine relie Bagacum (Bavay) à Camaracum (Cambrai). Connue sous le nom de ‘’Chaussée Brunehaut’’, celle-ci traverse le territoire actuel de Sepmeries. Une voie secondaire relie Hermoniacum (Bermerain) à Fanum Martis (Famars).
Pour alimenter Famars en eau, un aqueduc romain traversait Sepmeries.
Lors de fouilles ont été découverts, une partie de l’aqueduc, des objets divers, des monnaies, des tessons, un habitat en torchis, des céramiques[16].
Moyen Âge
Au IXe siècle, les guerriers Vikings, à bord de leurs drakkars, se trouvent dans l’impossibilité de remonter le cours de l’Escaut par manque d’un tirant d’eau suffisant. Ils vont se disperser et peupler la région.
D’autre part, en 2004, une motte castrale du haut Moyen Âge a été trouvée[17]. Ces vestiges sont les plus anciens témoins de la présence d’une seigneurie au Xe siècle.
Du XIe siècle à la fin du Moyen Âge
Auteur du Miroir des nobles de Hesbaye, le chroniqueur liégeois Jacques de Hemricourt (1333-1403) mentionne « l’importante seigneurie de Semeries (orthographe à cette époque), relevant du comte de Hainaut… ». Durant le Moyen Âge, Sepmeries a donc appartenu à de puissants seigneurs et dames.
En 1069, Amaury[18], puissant seigneur du Cambrésis et de l’Artois, est seigneur de Croisilles et Semeries (orthographe du village à cette époque).
En 1141, l’évêque de Cambrai donne l’autel de Semeriis à l’abbaye Saint-Jean-Baptiste de Valenciennes, ce qui est confirmé par le pape Alexandre III dans une bulle écrite en 1173[19].
Les seigneurs au XIIIe siècle font partie des familles nobles de Roisin[20] et de Lallaing[21].
Suivent au XIVe siècle des Lallaing[22], Beaumont[21] et Chabot[23].
Arrivent ensuite jusqu’à la fin du Moyen Âge (1453) des Turck[24], Chabot[25], Arnemuyden (famille de la comtesse du Hainaut)[26] puis les Trazegnies[26] .
Époque moderne
Pour Sepmeries, elle va de la fin du Moyen Âge au dernier seigneur de Sepmeries
Plusieurs seigneurs de la famille de Trazegnies sont retrouvés dont Robert de Trazegnies (1464-1550)[27]. Leur succèdent les François (Severin, Philippe, Philippe (1610-1677), Charles Philippe ( ?-1683), Marie-Anne (1654-1693) sont retrouvés[28]. Séverin François, seigneur de Sepmeries, a été pendant 40 ans lieutenant du grand bailli du Hainaut. Lors des troubles qui ont affecté la ville de Mons, il a tenté de contrôler le peuple, mais après avoir subi plusieurs mauvais traitements, a été chassé de la ville avec son fils. Philippe François, son petit-fils, natif de Mons, seigneur de Sepmeries et de Quévelon (Quiévelon?), bénéficie le de lettres d'anoblissement données à Bruxelles[29]. Marie-Anne François devient en 1683 la dernière dame connue de Sepmeries. Elle est la fondatrice de la Sainte et Noble Famille de Lille (communauté de jeunes filles nobles, de père et de mère déchus de biens). Cette maison ferme à la Révolution, ses pensionnaires sont conduites à l’Hôpital général. Le bâtiment reçoit l’Hospice Stappaert en 1884. Par testament, toutes les possessions de Marie-Anne de François vont appartenir à la Sainte et Noble Famille de Lille et donc à partir de la Révolution aux Hospices de Lille.
Divers administrateurs deviennent par la suite Seigneurs de Sepmeries.
Les derniers seigneurs appartiennent à la famille des Cossée :
- Charles Antoine Dieudonné Cossée (1701-1753) repose dans la cathédrale Saint Wandru de Mons, tout comme
- Bonne Charles Eléonore Cossée (1732-1765).
- Charles Bonaventure Cossée (1759-1817) est le dernier seigneur de Sepmeries[30]
Depuis 1789
À partir de la Révolution, il n’y a plus de seigneurie à Sepmeries.
La commune est maintenant administrée par un maire, le premier étant Hippolyte Lecerf.
: une éolienne de 43 tonnes (rotor + 3 pales) est montée sur Sepmeries.
Politique et administration
Situation administrative
La commune de Sepmeries se situe dans le département du Nord et fait partie de la région Hauts-de-France. Bien qu'elle soit plus proche de Valenciennes (à 12 km), elle appartient à l'arrondissement et au canton d'Avesnes-sur-Helpe (à 37 km).
Maire de 1802 à 1807 : Lecerf[31],[32].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1707 | 1724 | Pierre REGNIER | ||
1838 | 1843 | Sylvain BRUYERE | ||
1843 | 1852 | Constant DERVILLERS | ||
1852 | 1860 | Benoist BANTEGNIES | ||
1860 | 1870 | Charles WALLERAND | ||
1870 | 1881 | Placide DERVILLERS | ||
1881 | 1884 | Jean-Baptiste WALLERAND | ||
1884 | 1896 | Placide DERVILLERS | ||
1896 | 1912 | Valéry DUPIRE | ||
1912 | 1919 | Hippolyte DURIEUX | Maire pendant la grande guerre 1914-1918 | |
1919 | 1936 | Dieudonné DERVILLERS | ||
1937 | 1945 | Irénée BOUCHEZ | ||
1945 | 1947 | Léon LEFAUX | ||
1947 | 1959 | Etienne LEFAUX | ||
1959 | Mars 1983 | Georges DURIEUX | ||
Mars 1983 | mars 1993 | Jean-Claude BEAUVOIS | ||
Mars 1993 | mars 2001[33] | Michel VERCHAIN | ||
Mars 2001 | mars 2014 | Gérard DOURIEZ | ||
Mars 2014 | mai 2020 | Jean-José CIR[33],[34] | Cadre retraité | |
Mai 2020 | En cours | Thierry SOSZYNSKI | (suite élection du 15 mars 2020) |
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2021, la commune comptait 649 habitants[Note 3], en diminution de 4,84 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
400 | 453 | 534 | 649 | 772 | 786 | 791 | 855 | 873 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
891 | 884 | 900 | 911 | 872 | 852 | 842 | 781 | 803 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
830 | 836 | 815 | 663 | 660 | 650 | 609 | 646 | 615 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
578 | 593 | 587 | 562 | 489 | 523 | 548 | 555 | 677 |
2018 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
653 | 649 | - | - | - | - | - | - | - |
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 314 hommes pour 339 femmes, soit un taux de 51,91 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
1,3 | 90 ou + | 0,6 |
5,1 | 75-89 ans | 6,8 |
14,6 | 60-74 ans | 12,7 |
20,1 | 45-59 ans | 15,9 |
26,8 | 30-44 ans | 25,4 |
13,1 | 15-29 ans | 13,6 |
19,1 | 0-14 ans | 25,1 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,4 |
5,1 | 75-89 ans | 8 |
14,6 | 60-74 ans | 16 |
19,2 | 45-59 ans | 18,6 |
19,5 | 30-44 ans | 18,7 |
20,6 | 15-29 ans | 19,1 |
20,5 | 0-14 ans | 18,2 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La mairie de 1868.
- Le monument aux morts ; autrefois un monument aux morts de soldats allemands existait, mais il a été supprimé.
- L'église Saint-Côme et Saint-Damien du XIXe construite en 1874-1875 en lieu et place de la vieille église détruite en 1874 car trop vétuste pour être réhabilitée ; dans l'église une statue de saint Nicolas (vers 1600) classée au titre objet.
- L'ancien Hôtel des Seigneurs de Sepmeries, classé monument historique.
- Sont également classés : les bâtiments de l'ancienne brasserie Dervilers qui a fonctionné d'avant 1888 à 1914 et ceux de la brasserie coopérative, qui, ouverte en 1913, n'a fonctionné qu'une seule fois.
- Article détaillé : Brasseries du Nord Pas-de-Calais.
- L'église Saint-Côme et Saint-Damien
- Tympan décoré de l'église
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Michel Bernard (1931 - 2019), ancien international français d'athlétisme y est né.
Héraldique
| Les armes de Sepmeries se blasonnent ainsi : D’azur à la croix ancrée d’argent, cantonnée de quatre étoiles à six rais du même. |
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Sur les autres projets Wikimedia :
- Sepmeries, sur Wikimedia Commons
- Sepmeries sur le site de l'Institut géographique national
- Sepmeries sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- ↑ Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- ↑ La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- ↑ Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
- ↑ IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
- ↑ a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- ↑ « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- ↑ « Orthodromie entre Sepmeries et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Station Météo-France « Valenciennes » (commune de Valenciennes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- ↑ « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- ↑ « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- ↑ « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- ↑ « Unité urbaine 2020 d'Artres », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- ↑ Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- ↑ « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- ↑ Carte archéologique de la Gaule – le Nord sous la direction de Roland Delmaire.
- ↑ Procès-verbal du Préfet de Région du dans lequel notamment le conservateur régional de l’archéologie écrit ‘’Le diagnostic archéologique a révélé la présence de vestiges liés à la présence d’une occupation de type seigneuriale du Xe siècle.
- ↑ Jean Le Carpentier Histoire de Cambrai et du Cambrésis tome 1.
- ↑ AdN Miroeus tome 2.
- ↑ AdN Abbayes de Fontenelle et de Saint Jean de Valenciennes.
- ↑ a et b AdN Abbaye Saint Jean de Valenciennes.
- ↑ AdN Abbaye Saint Jean de Valenciennes et Chambre des Comptes de Lille.
- ↑ Cartulaire des Comtes du Hainaut tome 2.
- ↑ Jacques de Hemricourt.
- ↑ Cartulaire des Comtes du Hainaut tome 5.
- ↑ a et b Plumet – les Seigneurs de Trazegnies au Moyen Âge.
- ↑ Plumet – les Seigneurs de Trazegnies au Moyen Âge et archives personnelles de Olivier de Trazegnies XIe Marquis de Trazegnies.
- ↑ AdN Maison de la Noble Famille de Lille.
- ↑ Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 217, lire en ligne
- ↑ AdN Abbaye d’Anchin et la Belgique héraldique.
- ↑ Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
- ↑ « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807. », p. 150-151 (images 180-181)..
- ↑ a et b « Sepmeries: Jean-José Cir, ancien premier adjoint, candidat pour «dynamiser le village» », La Voix du Nord, édition Maubeuge et ses environs, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « À Sepmeries, une équipe jeune et motivée, au service de la population », L'Observateur de l'Avesnois, no 19461, , p. 31 (ISSN 0183-8415).
- ↑ L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- ↑ Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sepmeries (59565) », (consulté le ).
- ↑ Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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