Au début de la guerre, craignant une invasion allemande, et sous la pression du roi Gustave V qui met son trône en jeu, Hansson accède à la demande de Hitler de faire transiter ses troupes reliant la Norvège et la Finlande, alors déjà envahies et occupées, par les chemins de fer suédois[1].
Sur le plan politique, Hansson milite pour l'introduction d'un État-providence, qu'il appelle Folkhemmet (littéralement : la maison du peuple).
Il meurt d'une attaque cardiaque dans un tramway, et est enterré à Stockholm au cimetière de Norra begravningsplatsen.
Références
↑Julien Colliat, « La Suède : La quête difficile du bonheur (1844-2018) », sur herodote.net, (consulté le ).