Jehan Jonas

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Jehan Jonas
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Informations générales
Surnom Henri de Canterneuil
Nom de naissance Gérard Paul René Beziat
Naissance
17e arrondissement de Paris
Décès (à 35 ans)
13e arrondissement de Paris
Activité principale Auteur-compositeur-interprète
Activités annexes Scénariste, dialoguiste
Écrivain, dramaturge
Parolier
Genre musical Chanson française
Chanson à texte
Instruments Voix
Guitare
Années actives 1964-1980
Labels Disc AZ
SFPP

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Jehan Jonas, de son vrai nom Gérard Beziat, né le dans le 17e arrondissement de Paris et mort le dans le 13e arrondissement[1], est un auteur-compositeur-interprète français, des années 1960 et 1970.

Chanteur oublié, sont surtout connues ses chansons pamphlétaires et ses idées libertaires ; il est aussi l'auteur de récits radiophoniques, de pièces de théâtre et de textes pour d'autres artistes. Sous son vrai nom, celui de Jehan Jonas ou celui d'Henri de Canterneuil, il publie des romans érotiques et scénarise des films pornographiques.

Biographie

Débuts

Photographie de terrasses et de bars situés autour de la place de la Contrescarpe.
À ses débuts, Jehan Jonas fréquente la rive gauche. Ici, la place de la Contrescarpe.

Né en 1944 dans une clinique du 17e arrondissement de Paris[2], Gérard Paul René Beziat[3] grandit à Levallois, 47 rue Voltaire. Il obtient son certificat d'études primaires en 1958[réf. souhaitée] puis suit, à l'âge de quatorze ans[2], un apprentissage d'électricien ajusteur à la SNCF[4], métier qu'il exerce par la suite[5].

Jonas écrit ses premiers textes durant son apprentissage[2]. À partir de 1964, il se produit, guitare à la main, dans les cabarets parisiens de la rive gauche[4],[6], notamment à la Contrescarpe ou rue Mouffetard[4]. Rue de la Huchette, il fréquente le mouvement beat[4]. Il est admis comme « auteur » à la SACEM en 1965 et « compositeur » en 1967[réf. souhaitée]. À vingt ans, il dit avoir écrit cent cinquante chansons[6] ; il en compte deux cent cinquante à vingt-trois ans[7].

Simultanément, il s'engage dans le groupe des Jeunesses anarchistes pacifistes[8].

Carrière musicale

À vingt ans, Jehan Jonas participe à son premier gala à la Maison de la Mutualité, dans le programme de Léo Ferré[2]. En 1965, Jehan Jonas écrit deux chansons pour Marcel Rothel, publiée dans son album Belles pognes[9]. Il continue la tournée des cabarets[2].

Son single Comme dirait Zazie / Quand tu s'ras vieux papa, où il est accompagné par le chef d'orchestre Michel Colombier, sort en 1966[10],[11]. La même année paraît[12] son premier disques 33 tours, Comme dirait Zazie chez Disc AZ[13], suivi de À la vie en 1967[13],[14]. Applaudi par les journaux locaux de l'époque[6],[15],[16], il est alors comparé à d'autres chanteurs à texte, comme Georges Brassens ou Léo Ferré[7],[17]. Durant ces deux années, il se produit au théâtre du Vieux-Colombier dans le spectacle de chansons La Contrescarpe à Saint-Germain-des-Prés, mis en scène par Arlette Reinerg. Il chante avec Hélène Martin, Bernard Haillant, Jacques Serizier et Les Enfants terribles[18]. L'Autre, L'Étiquette et Tahiti sont ses trois derniers albums, sortis entre 1968 et 1973[8],[13].

Il participe à nombre de galas de soutien au mouvement libertaire ; en 1974, pour le journal Le Monde libertaire[19], mais aussi, en 1975 au Gala de solidarité aux objecteurs et insoumis organisé par Les Amis de Louis Lecoin et le journal Le Réfractaire, et, en 1977 au Gala de solidarité avec l'Espagne libertaire organisé par la Confédération nationale du travail[20]. Il écrit des chansons pour d'autres interprètes, tels que Jean-Marie Vivier[21], Yves Desnos[22] ou Alain Moisan[23]. Lorsqu'en 1970, Vivier reprend ses chansons Flic de Paris et Mentalité française dans son premier 33 tours, celui-ci se voit interdit d'antenne[24].

Si Jehan Jonas est dans les années 1960 assez présent sur les ondes radiophoniques, avec quelques succès — un des plus importants est Le Manège —, il s'y fait absent la décennie suivante. Il explique cet effacement de deux façons : la mort de Lucien Morisse en 1970, fondateur de Disc AZ qui le « favorisait » selon ses dires, et l'« autocensure » des animateurs de radio. D'après lui, ces derniers « préfèr[ent] de loin la voie de la facilité et refus[ent] le risque de programmer des chansons à textes, quand elles ne sont pas d'auteurs déjà reconnus ou certifiés par le marché du disque ». Dans le même temps, il s'ouvre à d'autres supports artistiques : la scène et l'écriture notamment[5], tout en continuant d'écrire et de se produire en concerts[25].

Son œuvre, décrite comme franche et satirique par la critique[17],[26], mêle politique (Pompi... que dalle ! est un pamphlet contre le président Georges Pompidou[27], Flic de Paris fait de même contre la police[28] et White and black prône l'antiracisme[14]) et sujets de la vie quotidienne (À la visite médicale)[29]. Il se moque tantôt de la police et de l'armée[7],[26], tantôt de la religion et de la morale[26].

Diversification des activités

En 1974, avec le chorégraphe Cyril Réginald[30], Jehan Jonas monte son premier spectacle[2], un récital nommé Le Pain des fous[30], avec trois musiciens[31]. Sa première a lieu le au théâtre Daniel-Sorano de Vincennes[30]. Il recommence l'année suivante à la Pizza du Marais avec Ce soir, on récalcitre[2],[32]. Il écrit aussi des pièces de théâtre : Jokari, à Daniel-Sorano en 1975[33], et Trois allers simples pour l'enfer en 1976 au Lucenaire[34] avec la mise en scène de Bernard Salvage[35]. Sa dernière, Le Timbre et la baguette, avec le metteur en scène Jean Vilain, se produit le au théâtre Daniel-Sorano[36].

Il écrit également des sketchs[2], des nouvelles policières radiophoniques[37] et des romans érotiques sous le nom de plume Henri de Canterneuil[38].

De 1978 à sa mort, il signe les scénarios de sept films pornographiques, dont deux sous son nom de naissance. Il collabore avec Maxime Debest[39], dit Maxi Micky[40], Roger Derouillat[39], qui se fait appeler Sven Hansen[41], et Henri « Sand Sunsea » Sala[39],[42]. Pour Derouillat, il écrit aussi les dialogues de deux films tous publics : Les Voyants en 1975 et Comment passer son permis de conduire cinq ans plus tard[39].

Mort

Atteint d'une tumeur du cerveau[29] en , il est emporté en moins d'un mois[2]. Il meurt le à l'âge de 35 ans à l'hôpital de la Salpêtrière à Paris[43]. Chanteur oublié[44],[45], il avait écrit des centaines de chansons. Parmi ses plus connues, on retrouve Comme dirait Zazie, Flic de Paris, Mentalité française ou Plaidoyer pour un futur crétin[4].

Postérité

Jehan Jonas reçoit le prix de l'Académie Charles-Cros en 2005.

Ses cinq albums sont réédités par la Société française de production phonographique en 1981[46]. L'étiquette, son dernier 33 tours paru en 1972, sort en CD[47] en 1992. En 2008 paraît Ce soir... on récalcitre, album live enregistré le à la Pizza du Marais à Paris. Deux ans plus tard est édité Bavure, un CD contenant des chansons inédites[13].

En 2008, dans sa compilation Le Boucher, Mister Modo fait figurer Chanson assassine[48]. Sa chanson Nocturnes est reprise dans lalbum 69 année mélodique, édité par Fanon Records en 2014[44].

Si pour le grand public, Jehan Jonas est tombé dans l'oubli, ses chansons sont cependant interprétées par de nombreux artistes dans le monde de la chanson à texte : Jann Halexander[49], Alain Léamauff[50], Yves Desnos[51], Jean-Marie Vivier[52], Pierre-Yves Mériac[53], Alain Moisan[54]etc. Ils sont plusieurs d'entre eux à lui dédier un album : Moisan sort Jehan Jonas... vous connaissez ? en 1985[55], Léamauff enregistre en public en 2006 Alain Léamauff chante Jehan Jonas[56], qu'il publie l'année suivante[57], Mériac PY Mériac chante Jehan Jonas[53]. Jean-Marie Vivier, qui a repris au total environ quarante de ses titres[58] dans une petite dizaines d'albums[59],[60], lui consacre trois albums complets, publiés en 2000 et 2001[59].

Le patrimoine de Jehan Jonas est également défendu par des associations culturelles.

Au mois de , durant le festival montalbanais Alors... chante !, l'œuvre de Jehan Jonas est reprise pour un concert hommage. Ses chansons sont interprétées par Agnès Bihl, Daniel Fernandez, Yves Jamait, Loïc Lantoine, Gérard Morel, Éric Toulis, Bastien Lallemant, Catherine Vaniscotte, Claire Joseph et François Pierron. L'association Jehan Jonas second souffle édite un DVD du concert, réalisé et produit par Philippe Viala[61]. En 2014, la troupe des Cabarettistes crée un spectacle en triptyque, Caves, bars et...?. Son deuxième tableau, Prenez pas les morts pour des cons, est entièrement inspiré par Jonas, et son premier, Les plus inconnus des auteurs, compositeurs, interprètes connus l'est en partie. Leurs premières a lieu à la péniche Adélaïde sur le quai de Seine à Paris[62] ; ils sont coproduits par le Collectif 36 bis et l'Arca[63].

Œuvre

Discographie

Article détaillé : Discographie de Jehan Jonas.

Entre 1966 et 1972, Jehan Jonas sort trois singles, quatre EPs et cinq albums studios chez Disc AZ. À titre posthume, un album d'inédits, un album live et deux compilations sont publiées, dont trois d'entre eux par l'Association Jehan Jonas Second souffle.

EPs

  • 1966 : Comme dirait Zazie
  • 1967 : Comme les autres
  • 1968 : Pont du point du jour
  • 1969 : L'Album de famille

Albums studios

  • 1966 : Comme dirait Zazie
  • 1967 : À la vie
  • 1968 : L'Autre
  • 1969 : Tahiti
  • 1972 : L'Étiquette

Ouvrages

Sous le pseudonyme d'Henri de Canterneuil

Vingt-huit ouvrages érotiques sont publiés sous le nom d'Henri de Canterneuil, entre 1972 et 1980.

Liste des romans érotiques écrits par Jehan Jonas
  • Je sodomise ma mère, Paris, Éditions Michelle Thibaud, 211 p. (BNF 35937961)
  • Trois histoires pour adultes avertis, Paris, Éditions Michelle Thibaud, circa 1970, 258 p. (OCLC 803272545)
  • Orgies entre adolescents, 197?, 251 p. (BNF 35474546)
  • L'Enfilade (ill. Dan Moor), Ris-Orangis, Les Éditions du Félin, , 252 p. (BNF 35423222)
  • Femmes d'un songe, Ris-Orangis, Les Éditions du Félin, (BNF 35423162)
  • La Pinière, Paris, I. D., , 199 p. (BNF 35423085)
  • Sous le soleil de Lesbos (ill. Thu Ha), Ris-Orangis, Les Éditions du Félin, , 237 p. (OCLC 463473530, BNF 35423187)
  • Histoire de Blanche, Artigues-près-Bordeaux, imprimerie SNID, , 191 p. (OCLC 461572706, BNF 34583977)
  • Moiteurs précoces, (OCLC 461572710, BNF 34583979)
  • Salopes de quinze ans, , 185 p. (OCLC 461541506, BNF 34578706)
  • La Veuve, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (BNF 35628494)
  • Couples mariés en partouze, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (BNF 34710284)
  • Femme pour couples pervers, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (OCLC 461669924, BNF 34607677)
  • Une Femme très spéciale, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (BNF 34607581)
  • Madame est servie, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (BNF 34706952)
  • Par le cul et par le con, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (BNF 34653284)
  • Angelina : roman-photos tout en couleur, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (BNF 35628492)
  • Le Travesti : roman-photos tout en couleur, Paris, Éditeur Michelle Thibaud - Edition Concorde,
  • Humilié par des salopes : roman-photos tout couleur, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (BNF 35628493)
  • co-écrit avec Marguerite Esterneuville, J'aime qu'on me regarde !, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (OCLC 61669632, BNF 34607586)
  • Orgies bourgeoises, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (BNF 34607665)
  • co-écrit avec Déborah Simpson, Prends ma femme par derrière, Paris, Éditions Michelle Thibaud, , 104 p. (BNF 34609764)
  • Vicky la noire, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (BNF 35628495)
  • Les Épilées, Paris, Éditions Michelle Thibaud, (BNF 35937959)
  • Des femmes et des bêtes, Paris, Éditions Michelle Thibaud, , 155 p. (BNF 35422655)
  • La Gamine, Paris, Éditions Michelle Thibaud, 1979?, 255 p. (OCLC 982002485, BNF 45241950)
  • Maman mon seul amour, Paris, Éditions Michelle Thibaud, , 227 p. (OCLC 982002982, BNF 45241979)
  • Mon bel adolescent, Paris, Éditions Michelle Thibaud, , 204 p. (OCLC 956364265, BNF 35422647)
  • Maman soumise, Paris, Éditions Michelle Thibaud, , 263 p. (BNF 35459104)

Sous le pseudonyme de Jehan Jonas

Ouvrage posthume regroupant ses textes, ses sketchs, des photos et des dessins.

  • Œuvres complètes, Pont-Scorff, Arthemus, , 299 p. (ISBN 2-913511-30-9, BNF 39267002)

Spectacles

Récitals

  • Le Pain des fous
    Première au théâtre Daniel-Sorano à Vincennes le . Chorégraphie de Cyril Réginald. Avec Graziella Madrigal au piano électrique, Alain Dubois à l'alto et au violon électrique et Janko Nilovic au piano et aux percussions[30],[31].
  • Ce soir, on récalcitre
    À la Pizza du Marais, en 1975 (jusqu'au ). Jehan Jonas est accompagné par un pianiste et un guitariste[32].

Théâtre

  • Jokari (BNF 39478739)[30]
    Première au théâtre Daniel-Sorano à Vincennes le , avec Jean Lespert.
  • Trois allers simples pour l'enfer, mise en scène de Bernard Salvage (BNF 39478741)
    Première au théâtre le Lucenaire à Paris le , avec Jean-Pierre Sourice, Didier Albert et Jean Lespert.
  • Le Timbre et la baguette, mise en scène de Jean Vilain (BNF 39478740)
    Première au théâtre Daniel-Sorano à Vincennes le , avec Jean-Pierre Sourice.

Hommages

  • Hommage à Jehan Jonas[61]
    Au Magic Découvertes à Montauban le . Avec Agnès Bihl, Daniel Fernandez, Yves Jamait, Loïc Lantoine, Gérard Morel, Éric Toulis, Bastien Lallemant, Catherine Vaniscotte, Claire Joseph et François Pierron au chant, Didier Grébot et Hervé Faisandaz à la batterie, Frédéric Schadoroff au piano, Braim Haiouani à la contrebasse et Christophe Marozzi à l'accordéon.
  • Caves, bars et...?, premier tableau : Les plus inconnus des auteurs, compositeurs, interprètes connus[62]
    Première à la péniche Adélaïde à Paris le , d'après les œuvres d'Allain Leprest, Colette Magny, Jehan Jonas, Henri Tachan, Gribouille, Loïc Lantoine et Pierre Louki. Coordonné par Matila Malliarakis, assisté de Solange Wotkiewicz, arrangé par Zofia Rieger, Nathan Gabily et Osvaldo Calo.
    Avec Nathalie Bourg, Alain Carbonnel, Nathan Gabily, Clémentine Lebocey, Matila Malliarakis, Malvina Morisseau, Zofia Rieger, Hugues de la Salle, Jeanne Vimal et Solange Wotkiewicz. Accompagnés par Zofia Rieger et Nathan Gabily.
  • Caves, bars et...?, deuxième tableau : Prenez pas les morts pour des cons[62]
    Première à la péniche Adélaïde à Paris le , d'après l'œuvre de Jehan Jonas. Coordonné par Matila Malliarakis, assisté de Solange Wotkiewicz, arrangé par Zofia Rieger, Nathan Gabily, Hugues de la Salle et Alain Carbonnel.
    Avec Nathalie Bourg, Alain Carbonnel, Nathan Gabily, Clémentine Lebocey, Matila Malliarakis, Malvina Morisseau, Zofia Rieger, Hugues de la Salle, Jeanne Vimal et Solange Wotkiewicz. Accompagnés par Zofia Rieger et Nathan Gabily.
  • Artiste[64]
    Cabaret par Matila Malliarakis.

Filmographie

Icône signalant une information Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.

Films tous publics

  • 1975 : Les Voyants de Roger Derouillat (dialogues)
  • 1980 : Comment passer son permis de conduire de Roger Derouillat (idée et dialogues)

Films pornographiques

  • 1978 : Bêtes à jouir de Maxime « Maxi Micky » Debest (sous Gérard Beziat)
  • 1978 : Qui m'aime me suce de Maxime « Maxi Micky » Debest
  • 1978 : Tout à la fois de Roger « Sven Hansen » Derouillat
  • 1978 : Prends-moi tout de Roger « Sven Hansen » Derouillat
  • 1978 : Inonde mon ventre de Maxime « Maxi Micky » Debest
  • 1980 : Séduisante otage d'Henri « Sand Sunsea » Sala
  • 1980 : Son corps pour un chantage d'Henri « Sand Sunsea » Sala

Sa chanson C'est chaque fois la même histoire est utilisée dans Tout à la fois et Prends-moi tout.

Notes et références

  1. Relevé des fichiers de l'Insee
  2. a b c d e f g h et i Œuvres complètes, Pont-Scorff, Arthemus, , 299 p. (ISBN 2-913511-30-9, BNF 39267002).
  3. « Beziat Gerard Paul Rene », sur matchID (consulté le ).
  4. a b c d et e R.D., « Jonas, Jehan [Gérard Beziat dit] », sur Dictionnaire international des militants anarchistes, (consulté le ).
  5. a et b [PDF] L.C. P., « Jehan Jonas : « Je ne veux pas chanter comme je faisais de l'électricité » », journal parisien inconnu,‎ (lire en ligne).
  6. a b et c [PDF] Yvon Nègre, « Jehan Gérard : la chanson de demain », journal local inconnu,‎ (lire en ligne).
  7. a b et c [PDF] J. M., « Jehan Jonas chante... une allure timide mais des griffes adreltes », journal normand inconnu,‎ 1967 ou 1968 (lire en ligne).
  8. a et b Rolf Dupuy, « Jonas Jehan », sur Le Maitron, Dictionnaire biographique, mouvement ouvrier, mouvement social, (consulté le ).
  9. (en) « 'Marcel Rothel – Belles pognes », sur Discogs.
  10. BNF 37858502.
  11. (en) « 'Jehan Jonas – Comme dirait Zazie / Quand tu s'ras vieux papa », sur Discogs.
  12. Suzy Chevet, « Variétés : Jehan Jonas », Le Monde libertaire,‎ . Jean-Ferdinand Stas, « Disques : Jehan Jonas », Le Monde libertaire,‎ .
  13. a b c et d Discographie sur Pressibus.
  14. a et b Jean-Ferdinand Stas, « Disques », Le Monde libertaire, no 134,‎ , p. 14 (lire en ligne [PDF]).
  15. [PDF] « Soirée de réouverture, à 21 h, vendredi à « La Prairie », samedi au « Virgule » », journal parisien inconnu,‎ (lire en ligne).
  16. [PDF] André Ransan, « Mick Micheyl », journal parisien inconnu,‎ (lire en ligne).
  17. a et b [PDF] Extrait d'un article d'un journal chesnaysien, paru en 1967.
  18. « La Contrescarpe à Saint-Germain-des-Prés », sur Les Archives du spectacle, .
  19. Jean-Ferdinand Stas, « Gala du monde libertaire », Le Monde libertaire,‎ .
  20. Affiches en ligne (lien d'archive).
  21. (en) « 'Jean-Marie Vivier – Jean Marie Vivier », sur Discogs.
  22. (en) « 'Yves Desnos – Yves Desnos », sur Discogs.
  23. (en) « 'Alain Moisan – Regarde-moi passer », sur Discogs.
  24. Benjamin Sèze, « Jean-Marie Vivier : une vie en chansons », sur Ouest-France, .
  25. [PDF] Alain Legoupil, « Fa Dièse : « Franc-chanter » de Jehan Jonas », journal parisien inconnu,‎ octobre ou novembre 1977 (lire en ligne).
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  27. Bertrand Dicale, « Ces chansons qui font l'actu. Pom, pom, pom, Pompidou », sur France Info, (consulté le ).
  28. Bertrand Dicale, « Ces chansons qui font l'actu. J'ai embrassé un flic de Renaud : un joli souvenir ou une réflexion politique ? », sur France Info, (consulté le ).
  29. a et b Bertrand Dicale, « Ces chansons qui font l'actu. Les médecins sont-ils vraiment compétents ? », sur France Info, (consulté le ).
  30. a b c d et e [PDF] « Le Pain des fous, montage musical », journal inconnu,‎ (lire en ligne).
  31. a et b « Le Pain des fous, Jehan Jonas, théâtre Daniel Sorano », sur Fédération internationale des centres d'études et de documentation libertaires (consulté le ).
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  34. Françoise Varenne, « Trois allers simples pour l'enfer », Le Figaro,‎ .
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  40. « Maxime Debest » (présentation), sur l'Internet Movie Database.
  41. « Roger Derouillat » (présentation), sur l'Internet Movie Database.
  42. « Henri Sala » (présentation), sur l'Internet Movie Database.
  43. Cousin 2013.
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  45. Bertrand Dicale, « Ces chansons qui font l'actu. Quand la parole se lâche », sur France Info, (consulté le ).
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  49. Fin De Saison - Au Théâtre De La Reine Blanche, (lire en ligne)
  50. [PDF] J.-M. G., « Quand Alain Léamauff parle de son métier », journal inconnu,‎ , p. 16 (lire en ligne).
  51. « Yves Desnos, le chevelu chantant », La Manche libre,‎ .
  52. Georges Beaugeard, « Les grands interprétes : Jean-Marie Vivier », Je chante !, no 2,‎ . Réédité en 1996.
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  56. « Commander un CD », sur Jehan Jonas Second souffle (version du sur Internet Archive).
  57. [PDF] « Alain Léamauff : chanteur à textes », Talents en Seine,‎ années 2010, p. 13 (lire en ligne).
  58. R. B., « Biographies : Jean-Marie-Vivier », sur Je chante ! magazine, (consulté le ).
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  62. a b et c [PDF] Les Cabarettistes et Collectif 36 bis, Caves, bars et...?, 13 p. (lire en ligne).
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  64. « Matila Malliarakis », sur AgencesArtistiques.com (consulté le ).

Voir aussi

Article connexe

Bibliographie

  • Laure Cousin, Jehan Jonas, une confiscation ou une histoire humaine, Paris, Éditions L'Harmattan, coll. « Cabaret », , 298 p. (ISBN 978-2-343-01363-3, BNF 43680019)
  • Michel Trihoreau, « Rappels : « Prenez pas les morts pour des cons ! » », Chorus, no 32,‎

Liens externes

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  • Sélection d'articles de presse sur jehanjonas.free.fr et jehan-jonas.fr (liens d'archive)
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